Radio Grandpapier

"Je ne vois rien autour du paysage"

Une rubrique animée par Joanna Lorho et Stéphane Noël. On y parle d’art, des arts. Une bande dessinée, un invité ou l’actualité récente sert de point de départ. C’est l’occasion de citer d’autres noms, d’aller voir dessins, peintures, sculptures, performances, films d’animation et autres macramés.

"Je ne vois rien autour du paysage" est un dessin de René Magritte de 1929.

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Autour du...paysage ( Forgeries )

Ce mois-ci, avec nos invités, les membres de "Forgeries", il est question de micronation en arctique, de récit froid, polaire et hostile. Aussi, nous avons eu envie de regarder à notre tour du côté.... du paysage...mais pas que. Un autour du paysage autour du paysage, pour un retour, on trouvait ça pas mal.

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Autour de "The Swamp Thing"

"The Swamp Thing" évoqué ce mois-ci par Nicolas, c’est un homme transformé en "chose végétale à apparence humaine", à moins que ce soit plutôt des végétaux qui auraient pris quelque chose d’humain, bref, l’occasion pour nous d’aller voir si on trouve des choses de l’ordre de l’animalité et de la végétalité dans l’art.

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A propos du livre concept

On parle souvent de "livre objet", mais le spectre est assez large. On y trouve des livres appuyant la matérialité (des pages en bois, couverture en fer), d’autres destructurant la lecture (feuilles volantes, pages à déplier), d’autres qui jouent sur les conventions de la lecture (à retourner, à sauter d’un point à l’autre) ou encore à découpe. Nous aborderons ici des livres qui peuvent rentrer dans cette vaste catégories mais qui sont architecturés autour d’un concept.

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Un tour du côté de la jeunesse

Ca n’est pas la première fois qu’à l’approche du salon de Montreuil ou de la Saint Nicolas, "autour du paysage" aille loucher du côté du livre jeunesse.
Des nouveautés jeunesse donc, en lien avec les nouveautés du mois, et c’est Thalie qui remplace Stéphane ce mois-ci.

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Autour de la vision

L’idée de l’expérience immersive, sensorielle, totale n’est pas neuve. C’est une tentation un peu vaine que l’on retrouve épisodiquement. Peintures en coupole, films en odorama, Imax, cinéma 3D, et dernièrement télévision 3D.

La plupart du temps, l’obsession pour le dispositif fait oublier que l’art n’est pas que de la technique mais aussi du sens, de l’affect dans un sens plus large que celui que propose Hollywood.

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Autour des zombies

Le zombie appartient à la culture populaire. Issu des peurs les plus reptiliennes de l’humanité, esquissé par la littérature, il trouve son corps avec le cinéma. On pourrait certainement écrire une thèse sur l’aspect scopique du zombie : le zombie est un corps fait pour être vu, au point qu’on ne peut lui imaginer une intimité. Mais si on exclut le cinéma, la littérature, et la bande dessinée, il faut reconnaitre que la figure du zombie devient difficile à trouver.

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Autour de la politique

Parmi tout ce que le printemps présidentiel génère comme matière, on trouve aussi des projets artistiques, ou éditoriaux, souvent salutaires, qui apportent un nouveau regard, un peu de recul, un peu d’air.
Un contexte qui incite les artistes à changer d’axe, un dessinateur de bande dessinée fait du dessin de presse, un éditeur lance un journal ephémère...
D’autres construisent leur pratique, ou leur discours en dehors de la politique spactacle, celle qu’on regarde comme on regarde le mundial.

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L’architecture et le sens du lieu

L’art moderne a pour contexte la globalisation naissante. Aux avant gardes de ce mouvement, les artistes voyages, se positionnent par rapport à leur pair, créent un musée virtuel dans lequel temps et espace sont compressibles.
Mais l’art se nourrit de spécificité, pas de généralités. Il part de lieux, retourne a des lieux, parle de situations, même diffuses, appartenant au monde. Ici quelque oeuvres et artistes qui parlent de lieux et d’architecture, sur des modes divers.

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La collaboration artiste/non artiste

Selon l’adage moderniste, tout le monde est artiste. Dès lors, l’idée de collaboration entre artistes et "non artistes" est sans objet.

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Autour de "1h25" : l’imposture

L’imposture est une des figures les plus condamnées de notre culture. Elle est liée au respect de l’identité. S’avancer comme ce qu’on est est peut-être un des concepts les plus respecté dans toutes les cultures. En art, la question de la sincérité, de l’authenticité sont centrales depuis la modernité et depuis que l’histoire de l’art comme discipline a été créée. Mais l’imposture est liée aujourd’hui de droit d’auteur, ce qui n’est pas glorieux.