Ecouter Grandpapier
Les dates des émissions pour cette fin de l’année 2023 sont : le 27 mars, le 24 avril, le 22 mai et le 26 juin
Les dates des émissions pour cette fin de l’année 2023 sont : le 27 mars, le 24 avril, le 22 mai et le 26 juin
A quelques jours de noël, et alors que 2021 s’achève, pauvre en festivals et en rencontres physiques, nous serons en studio avec quelques livres encore et comme invité, un des initiateurs de cette émission radio : Nicolas Verstappen, de passage par la Belgique.
Pas d’invité cette fois, malgré le déferlement des sorties. Nous sommes 3 autour des micros, occasion de se pencher sur plusieurs livres, de parler d’Angoulême qui approche, de son palmarès et de ses expositions...
L’automne est bien entamée et on murmure les deux mots "quatrième vague", mais nous sommes en studio pour parler de bande dessinée une fois de plus.
Une rentrée soft, avec Benoit, Antoine, Romane et Stéphane autour de la table. On espère une présence continue pour cette 11e année de présence sur les ondes de la radio. Un auteur en studio, un vieux routard du fanzine bruxellois : Jean Bourguignon.
Dernière émission d’une année aussi tétanisée que mouvementée. On termine en beauté avec un invité et une nouvelle chroniqueuse : Romane Armand.
Une lutte sans pitié oppose la population en lutte pour le déconfinement avec une météo morose. Nous serons peu en studio mais nous aurons de quoi parler avec Cyril Elophe, auteur, illustrateur, dessinateur mais aussi organisateur de Cultures Maisons et membre de Abdil, l’association des auteurs de BD et d’illustration.
Mars, dehors le confinement n’en finit plus et plus personne ne se projette dans l’avenir, mais nous serons bien présents autour de la table pour parler bande dessinée, conflits et histoire avec notamment Valfret qui nous rejoins en studio.
Le soleil revient, temps a été froid puis chaud, ça commence à bouillonner dans les parcs et devant les lieux politiques. L’été sera certainement chaud, mais on espère un printemps plein de sève. Les bandes dessinées dont on parlera le sont en tous les cas.
Toujours aucune éclaircie sanitaire à l’horizon. Nous reprenons lentement, en studio cette fois, avec un nouveau volet de l’interview de l’historien Benoit Crucifix en seconde partie.
2020, qui s’achève dans une semaine, a été une année de merde, disons-le franchement, politiquement. La politique n’est pas qu’un décor, ce sont des décisions qui nous affectent, qui affectent en fait surtout les pauvres, d’habitude. Sauf que depuis quelques années, la politique affecte des strates toujours plus grandes de la population des pays riches,qui passent sous la ligne de flottaison : les gilets jaunes avait montré les signes de noyade du bas de la middle class, cette fois c’est toute la middle class qui va trinquer avec la crise sanitaire en cours et la crise économique qui est sur la piste de décollage.