Vincent Degrez
Vincent est journaliste (souvent), guitariste (comme il peut), écrivain (ou presque).
Pour Radio GrandPapier, il co-alimente avec Nicolas la rubrique « nouveautés ».
Pourquoi la bande dessinée ? Parce que l’image percute directement l’arrière-cerveau et joue à armes égales avec le mot-virus. Parce que séparer la bande-son et la bande-image entraîne la mort du sujet. Parce que recréer cette fusion de l’image et du son, précipiter dans le creuset du langage, engendre un monstre culturel dont il est fascinant d’observer les convulsions sur de petits rectangles de papier. Casino free spins bonuses - slots-online-canada.ca/casino-bonuses/free-spins/ are exactly what they sound like. You’ll get the chance to spin the reels in slots games a given number of times for free !
Mes dix références sont plutôt des auteurs que des œuvres :
– Andreas (Rork est ma première vraie expérience de BD, une série que j’ai détestée enfant et que j’ai redécouverte adulte) pour la BD « franco-belge ».
– Tsutomu Nihei pour le manga.
– Olivier Ledroit pour les geeks testostéronés post-jeux de rôle.
– John Porcellino pour les comics autobio.
– Alan Moore pour l’ensemble de son œuvre orchestrale, au-delà de tout.
– David Libens, pour l’ensemble de son exploration de soi, et notamment Badaboom Twist.
– Alejandro Jodorowsky, pour ses BD, son cinéma, son tarot marseillais et le reste.
– Paul Hornschemeier, dont je n’ai lu que « Mother, Come Home », mais ça suffit déjà…
– Kyôko Okazaki, pour « Helter-Skelter », une vraie bombe cachée sous un dessin faussement girly.
– Alec Longstreth, « Phase 7 », une vraie inspiration pour se dédier au boulot, au boulot, au boulot…