Jean-François Henrion
C’est d’abord dans la collection familiale d’exemplaires de l’hebdomadaire Tintin puis à la bibliothèque communale que le petit Jean-François contracte le virus de la Bande Dessinée. Plus tard, il joindra le club BD de son école et écumera les festivals pour y apercevoir ses auteurs favoris.
Il abandonnera ensuite les phylactères pour se consacrer à la critique musicale dans le mensuel RifRaf. Il participera aussi à l’aventure Radio Hellena à Louvain-la-Neuve. Il rattrape à présent le retard accumulé en connaissance du 9ème art en collaborant à Radio Grandpapier en tant que technicien en compagnie de Bertrand Panier.
Quelques albums, récits ou revues qui m’ont marqué de différentes manières :
Le manitoba ne réponds plus, Hergé
Bravo les brothers, Franquin
Revue Lapin, numéros 1 à 9
La lune noire, Yann et Le Gall
Ranxerox à New York, Liberatore et Tamburini
Certains l’aiment noir, Foerster
Adolphus Claar, Chaland
Le temple de la paix, Cleet Boris
Watchmen, Gibbons et Moore
L’enfer, Tatsumi